Tu veux faire ton shift écologique ?
Arrêter de penser : “Oh l’enfer, l’apocalypse is coming”.
Imaginer ton propre récit. Créée ton avenir désirable.
C’est ce qu’on a fait chez Lokki. On s’est prêté au jeu avec la Fresque des nouveaux récits.
La Fresque des nouveaux récits, c'est quoi ?
Je vous explique bla bla bla
Une fois qu’on avait bien analysé tout le bordel qui se passe dans notre cerveau (et dans notre société) :
Une fois qu’on avait remis tout ce petit récit capitaliste à plat, on a mis les mains dans le cambouis. On a écrit le récit de Lokki pour un monde désirable.
Je vous le décris vite fait ?
Si on se racontait notre propre utopie, histoire de se bouger pour qu’elle devienne réalité ?
C’est le petit jeu auquel on s’est prêté avec Clément, pour la Fresque des nouveaux récits et Clément Chevalier.
Je vous explique 🤓.
Vous le savez, tout notre imaginaire, nos rêves, nos comportements, notre pensée sont modelés à partir des récits qu’on entend depuis tout petit :
✏️ Récits mythologiques
✏️ Récits historiques
✏️ Récits nationaux
✏️ Récits religieux
✏️ Récits familiaux
et tant d’autres encore…
C’est d’ailleurs la chose qui distingue l’humanité des animaux !
L’idée de la Fresque des récits, c’est de reprendre un peu le power sur tout ce marasme.
1️⃣ Se réapproprier son pouvoir d’agir en se créant ses propres récits.
2️⃣ Faire sauter les verrous sociocognitifs qui freinent le changement en écrivant des futurs désirables.
3️⃣ Bref. Être acteur de notre avenir par la construction d’alternatives aux normes sociales obsolètes.
Parce que les récits qui nous ont façonné, majoritairement emprunts de culture capitaliste, sont malheureusement aussi en train de nous dévorer :
→ Consommer toujours plus pour être heureux
→ Accumuler les richesses pour acquérir un statut social enviable
→ Posséder, posséder et encore posséder, pour mieux exister
Nous, chez Lokki, on est porteur d’un modèle plus désirable, liée à l’idée de la sobriété.
Alors, à l’heure où le Giec nous met régulièrement des coups de pieds aux fesses pour qu’on agisse, on s’est dit qu’il était utile d’aller au bout des choses.
De proposer un récit, utopiste, certes, mais pas irréalisable. Et surtout désirable.
Nous sommes en 2023. Lokki s’est donné une grande mission : faciliter la location d’équipement pour démocratiser l’expérience de location durable et accessible à tous.
Parce qu’on est convaincus que la sobriété passe par le fait d’arrêter d’acheter, au profit de l’économie d’usage : je loue quand j’ai besoin, pas plus, pas moins.
Parce qu’il n’est pas question de se priver, d’arrêter de vivre, mais au contraire de retrouver le contact avec :
Vous mélangez tout ça, vous obtenez juste l’EXPÉRIENCE :
Pour mener à bien sa mission, Lokki a deux leviers d’actions :
1️⃣ Faciliter la location d’équipements des professionnels vers les particuliers
2️⃣ Convaincre les particuliers de la location
On voit grand. On vise, pour 2030 :
→ 10 000 loueurs sur notre plateforme
→ 10 Millions de Françaises et français ayant déjà un équipement grâce à Lokki
Parce qu’on est persuadés que la location peut changer le monde, on a lancé un média pour diffuser un message de transition heureuse : c’est facile de créer des expériences de loisirs à moindre coût, avec la location.
On est en 2030. Les citoyens sont convaincus. Louer n’est désormais plus un acte isolé. C’est la NORME, pour tout ce qui concerne les loisirs et l’équipement ponctuel.
Mais Lokki veut aller encore plus loin pour “faire sa part”, comme disait Pierre Rabhi. Parce que les experts du Giec continuent à nous mettre la pression pour que le monde entier fasse son SHIFT ECOLOGIQUE. Notre défi est de convaincre les politiques pour comprendre que ce modèle peut cohabiter, voire, à terme, remplacer le modèle économique actuel, basé sur la possession de chaque individu et la surconsommation.
Alors, on s’est dit qu’il fallait aller plus loin, tout en restant proche et local.
On a donc investi des locaux, pour proposer des expériences de partage conviviales et créer des communautés Lokki, sortes de plateformes d’échanges vivantes.
On a loué des perceuses chez la Poste pour recréer du lien dans beaucoup de territoires.
On a aidé la SCNF à louer ses vélos à la sortie des gares et les offices de tourisme à offrir des nouvelles expériences.
Très vite, il y a eu un boom de la location.
Pour accompagner cet essor, on s’est dit qu’il fallait éduquer à la location : Alors, on a créé la plus grande communauté d’entraide pour la location : par exemple, je loue une tondeuse, mais je ne sais pas m’en servir ? Je peux demander à Jean-Michel l’expert de m’aider !
Objectif : rapprocher les gens pour démocratiser les loisirs partout en France et dans le monde.
En 2028, on a été profondément émus par l’ampleur de l’engouement autour de notre problématique. La possession n’est désormais plus un idéal pour la jeune génération.
Très vite, le sujet a été porté par des associations de consommateurs jusqu’à l’assemblée.
Bientôt, les députés ont voté l’interdiction de la vente des équipements de matériel occasionnel.
La prochaine étape sera le Parlement européen.
À partir de décembre 2030, tout s’est emballé. Le basculement que nous avons toujours souhaité est arrivé : la location est devenue la norme.
La plupart des enseignes se sont transformées, mais elles ont dû se former, se réorganiser, notamment à la réparation. Nous les avons aidés à faire cette transformation. Chez nous, c’était l’euphorie, tous les CS étaient prêts à onboarder tous les magasins à la location !
Peu à peu, les particuliers se sont tous piqués au jeu : ils sont venus déposer leur matériel pour les faire entrer dans la boucle vertueuse que nous avions démocratisée.